Les systèmes de gestion de données les plus utilisés sont les architectures en silos et le Master Data Management (MDM = PIM + DAM + CMS).
Le problème de la structure en silo, c’est qu’elle segmente les données par département. Par conséquent, les données ne sont pas unifiées et ne communiquent pas entre elles.
Si auparavant, les silos ont beaucoup été utilisés par les grandes sociétés, ils amènent aujourd’hui les collaborateurs à de mauvais choix stratégiques. En effet, avec les silos, il est difficile de savoir quelle est la bonne version de l’information, notamment en raison des doublons et de la non mise à jour des données.
Les collaborateurs rencontrent donc des difficultés à accéder aux informations dont ils ont besoin. De ce fait, le cloisonnement des données constitue une véritable perte de temps et de productivité. De même, la qualité des relations clients diminue, et les campagnes marketing perdent en efficacité.
Ainsi, une bonne gestion des données de référence assure le développement et la pérennité d’une entreprise. C’est pourquoi la solution la plus adaptée pour répondre aux nouveaux enjeux de la multicanalité, est de choisir un processus de gestion centralisée des données de référence.
Les raisons qui amènent les entreprises au déploiement d’un référentiel unique sont nombreuses. Et bien souvent, cette idée émerge lorsque l’entreprise entreprend sa transformation digitale. La donnée représente en effet un élément extrêmement important dans toute structure, quelle que soit sa taille.
Objectivement, le référentiel unique permet de :